Où comment je cherche mon style du côté des couleurs dans un contexte de personal branding et de concurrence dans l'immobilier...
Quel plaisir de retrouver le chemin de cette newsletter et de nos échanges ! Laissée de côté depuis début décembre, bien des choses se sont passées dans ma vie. Mon papa a été hospitalisé puis il nous a quitté fin décembre, j’ai déménagé, j’ai changé de métier … Mon cerveau en surchauffe et ma tristesse s’accomodait mal avec l’écriture. Mais j’y reviens toujours ! C’est donc 3 mois après mon dernier article que je vous retrouve, j’espère au même rythme qu’avant, c’est à dire tous les 15 jours. Petit changement, la newsletter ne sera plus publiée le mardi matin mais le jeudi 19h, comme vous l’avez choisi dans le sondage posté sur Instagram.
Bonjour, je suis Olivia Mahieu, agent immobilier dans le Vaucluse, coach en communication digitale et correspondante de presse. Bienvenue dans ma newsletter : “La Vie Pas Sage”.
Depuis janvier, je travaille dans l’immobilier. Changement radical de rythme, moi qui travaillait essentiellement de la maison, me voici sur le terrain ou à l’agence avec mes collègues, tous les jours ou presque. Je m’habille donc différemment qu’auparavant. J’avais justement évoqué cette nouvelle vie dans une newsletter précédente : “Recherche du dressing et du job idéal, same same”. Je faisais une comparaison entre recherche d’une nouvelle voie professionnelle et recherche d’un nouveau style. Plus que jamais, les deux sont liés et plus que jamais mon expérimentation perdure et prend même une nouvelle tournure.
Un peu naïvement, je pensais en travaillant dans l’immobilier que j’allais arborer des tenues plus glamours que lorsque j’étais devant mon écran. C’est vrai et j’ai troqué survêt et Uggs pour des tenues plus habillées. Mais j’avais omis un contexte : celui de la prospection, en hiver de surcroit.
L’immobilier est un métier de terrain et le mien est fait de villages adorables - certains des plus beaux villages du Ventoux - conçus comme souvent en Provence avec l’église au sommet, le quartier ancien à son pied et plus bas encore les quartiers plus modernes. En bref, je crapahute toute la journée sur des terrains balisés mais parfois pentus. Et la prospection se fait par tous les temps (on évite de sortir sous la pluie tout de même) mais le mistral ne nous arrête pas. J’ai très vite compris que mes petites bottines ne seraient pas adaptés à toutes mes journées et j’ai ressorti très régulièrement - quotidiennement disons-le- mes sneackers.
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