💌 Investir sur soi

et mettre toutes les chances de son côté pour réussir boulot et vie perso.

Il me reste 10 ans pour casser la baraque professionnellement.
Et 10 ans avant que mon corps ne se détraque.

Passons les exceptions des carrières qui explosent à 60 ans passés, des corps qui fatiguent avant ou au contraire se maintiennent en forme au-delà.

A 20 ans, on a la vie devant soi.
A 50, c’est un peu moins vrai.

Je suis Olivia Mahieu, ghostwriter, coach Instagram et Linkedin, journaliste.
Je vous aide à écrire, à prendre la parole et à affirmer votre expertise pour gagner votre indépendance financière et personnelle. #InvisiblesNonMerci

Je veux un job qui roule

Si je ne veux pas louper ma fenêtre de tir, c’est maintenant. Non seulement j’ai de nouvelles contraintes avec mon étudiant et le prêt de la maison mais j’ai aussi envie d’une réussite différente. Nous avons chacune nos critères de réussite, pour certaines ce sera le chiffres d’affaires, pour les autres, la reconnaissance, d’autres encore la répartition entre travail et perso … Après des années d’expérimentation, de réflexion, de nombreuses heures d’échanges avec mes amis et des psy, je sais aujourd’hui que ma réussite tient en partie dans ma sécurité et mon indépendance financière.
Mais avec l’âge, la quête de sens se fait plus intense. Là encore, la notion est propre à chacune.
Mon “sens” à moi, il est dans l’aide que je peux vous apporter pour vous exprimer, pour prendre la parole, pour vous assumer.

Je veux être indépendante financièrement et m’apporter la sécurité dont j’ai besoin.
Je veux vous aider à assumer vos expertises et à les montrer.

Et pour ça, je dois me faire grandir.

Depuis que je suis indépendante, je n’ai pas réellement été accompagnée. Quelques séances de coaching par ci-par là avortées avant l‘heure, quelques podcasts écoutés sur le mindset, très peu de lectures business, pas d’identité graphique, pas de stratégie définie alors que je ne cesse de dire à mes clientes combien c’est important … J’ai beaucoup fait seule ou presque, et je me suis beaucoup dit aussi “on verra ça plus tard” jusqu’à ne plus rien voir du tout il y a quelques mois.
Je pensais sincèrement que mes compétences suffiraient. Erreur.
L’emballage est essentiel, la confiance en soi se travaille et l’improvisation a ses limites.

Vous êtes nombreuses à me faire remarquer une nouvelle dynamique dans mes contenus, dans mes partages. Depuis des mois je travaille à aligner mes envies et mes activités, je suis heureuse de vos retours, cela me prouve que je suis sur la bonne voie. Je sens que le boulot n’est pas terminé encore. Seule, tout est possible mais cela prend plus de temps. J’ai besoin de coups de pouce pour passer des paliers. Cela se fera au gré de ma trésorerie.

Un corps qui tient

Je suis une sportive irrégulière. J’ai toujours pratiqué une activité physique mais sans m’y tenir vraiment. Equitation, natation, badminton, marche … J’aime bouger mais pas toujours. A presque 50 ans, je n’ai plus le choix, l’activité doit être régulière.
Je veux que mon corps soit fort pour encaisser ce qui va arriver : la ménopause, le vieillissement des cellules, les articulations qui grincent et j’en ai assez qu’il me contraigne par son poids … D’où l’inscription en salle de sport.

Autre chantier en cours : le sommeil et la lutte contre les craquages trop gourmands. Ouf, j’adore les fruits et les légumes et je ne bois presque plus d’alcool, une bière de temps en temps, des spritz seulement en Italie. Mais mes yeux sont parfois plus gros que mon ventre … je cherche un nouvel équilibre aussi dans mon assiette.

Mieux manger, mieux dormir, faire davantage de sport pour un corps plus fort et … un job qui roule.

J’ai longtemps ignoré - volontairement - les liens entre corps, alimentation, sport, sommeil et boulot. Fermer les yeux m’arrangeait bien. L’approche de la cinquantaine a cet effet, vous forcer à voir ce que vous ne vouliez pas voir. C’est raide.

Adepte de la méthode des petits pas, c’est aussi celle que je vous conseille lors de mes accompagnements pro, alors j’y vais progressivement sans me leurrer, je connais mes parts d’ombre. Et je connais aussi très bien l’effet du mois de septembre sur nos envies de changements.